L’écrivaine, Cécile Micca, a entrepris une tournée remarquable au Cameroun ces derniers mois. Cette militante fervente du RDPC (Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais) a pris la décision de se rendre sur place pour aller à la rencontre du peuple. Elle a ressenti le besoin de toucher du doigt les réalités du terrain, de se reconnecter avec les siens, et de prêter une oreille attentive à tout ce qui est ancré dans sa ville natale, qui a d’ailleurs fait l’objet d’un livre, intitulé « Mbalmayo Terre de Grâce ». Les hommes politiques de la diaspora militent souvent à des milliers de kilomètres sans avoir une idée précise de la vie et des sentiments du peuple.
Se rendre sur place, c’est bien plus que du travail ; c’est un engagement profond pour veiller à ce que les militants ne se sentent pas négligés. Cela implique de s’immerger dans la réalité, de toucher du doigt les préoccupations du peuple, et peut-être même d’apporter aide et réconfort. C’est aussi une forme d’attention sincère envers les membres de son parti politique, car c’est à travers le parti que l’action politique prend tout son sens. Un parti politique doit être choyé comme un troupeau par un berger bienveillant. Il doit être le gardien des idées, descendre sur le terrain, et veiller à ce que chaque voix soit entendue. C’est ainsi que doit se comporter une personne ambitieuse en politique. Dans ce domaine, les mots sont importants, et ils doivent être choisis avec harmonie pour accomplir des merveilles.
Militer en politique, c’est aimer ceux qui vous soutiennent, mais aussi ceux qui peuvent avoir des opinions différentes. Il est essentiel de les rencontrer, d’engager le dialogue, et de trouver des points de convergence. Cécile Micca puise sa force dans l’exemple de son mentor, Paul Biya, qui a su surprendre en ralliant à lui même ceux qui l’avaient longtemps combattu. Elle a compris que pour avancer en politique, il faut savoir aimer et aller vers les autres. C’est cette conviction qui guide désormais son chemin et alimente sa détermination à poursuivre son combat. Depuis janvier 2024, Cécile a entame un voyage intérieur et extérieur, l’abordant avec une énergie débordante à l’aube de cette nouvelle année. Malgré les incertitudes qui peuvent planer, elle garde espoir que 2024 apportera une meilleure santé à tous.
Elle souhaite ardemment que les rêves les plus chers se matérialisent et que les désirs les plus secrets trouvent leur réalisation pour chaque personne qui la suit depuis un moment. Actuellement à Mbalmayo, sa ville natale, Cécile se consacre avec passion son temps à son association, œuvrant pour le bien-être des enfants abandonnés. Des chants et des hymnes résonnent à son passage en harmonie avec ses fans de la littérature d’abord et politique par la suite, créant ainsi un lien indéfectible. À chaque passage et réunion organisée par Cécile, elle est accueillie avec chaleur et célébrée comme lors d’un spectacle. Elle considère que c’est son devoir de fournir des moments de qualité à ceux qui la suivent depuis longtemps à distance. Cécile incarne une foi en la magie de la politique, conçue pour apporter le bien plutôt que la destruction, et en la puissance du langage, dans toute sa beauté. En tant qu’écrivaine, elle croit en la puissance des mots, porteurs d’histoires, d’émotions et d’héritage.
Elle accorde également de l’importance à l’éphémère, car elle sait que tout est possible dans la vie. Elle croit au temps, au silence en tant qu’éléments essentiels de l’existence. Les livres occupent une place spéciale dans son cœur, car ils favorisent la croissance, éveillent les esprits et révèlent des vérités profondes. Cécile est une femme qui a le souci du détail, aux rencontres et aux rêves. Elle est convaincue que les rêves sont destinés à se réaliser, et elle a déjà démontré que son pouvoir de pensée est joyeux, créatif, surprenant et parfois même audacieux. Elle a une foi inébranlable en la magie de la politique. Elle y croit.