Photo Maboup
Cette période de transition politique suscite de vives réactions parmi les acteurs politiques aux horizons divers, mais au milieu de cette effervescence, un véritable artisan de l’organisation politique et administrative, resté dans l’ombre, mérite d’être mis en lumière : il s’agit de Samuel Mvondo Ayolo. Homme discret, dévoué aux fonctions gouvernementales les plus délicates, il incarne aujourd’hui l’intégrité morale tant recherchée pour un Cameroun résolument tourné vers la vertu et l’éthique. Il a su répondre aux attentes modestes de quelques acteurs politiques, parfois mal informés, qui ne comprenaient pas la nature du service qu’il rendait.
Sa carrière diplomatique prestigieuse lui a conféré une notoriété politique qui pourrait bien le propulser au sommet de l’état. Malgré une communication politique parfois pitoyable et absurde de certains réseaux malveillants, il est demeuré stoïque, reflétant la sérénité qui caractérise les véritables Hommes de Pouvoir. Les fausses allégations concernant des prétendues malversations financières ne sont que des tentatives infructueuses visant à ternir la réputation de cet homme politique, dont les capacités de leadership ne souffrent d’aucune contestation. Il est impératif de rappeler que Monsieur Samuel Mvondo Ayolo est un Homme d’État à l’intégrité morale inébranlable.
Il a bâti sa carrière politique en se fondant sur les principes de la bonne gouvernance, avec des valeurs telles que la transparence, l’efficacité, la probité, la compétence, l’assiduité et la rigueur. En d’autres termes, il est tout à fait capable de diriger. Sa sérénité est le reflet d’un homme capable de guider une nation vers les sommets du développement économique, de s’adapter aux enjeux modernes, d’assurer la stabilité institutionnelle, de maintenir une sécurité constante, de favoriser la cohésion nationale et d’améliorer les conditions de vie de la population.
Malgré les défis inévitables rencontrés par tout pays dans son développement, il est justifié de considérer Samuel Mvondo Ayolo, actuel Directeur de Cabinet Civil, comme le capitaine potentiel du navire Cameroun, capable de naviguer habilement pour éviter les icebergs qui pourraient entraver sa progression dans l’océan tumultueux de la mondialisation, parfois perturbé par les tempêtes de l’ultracapitalisme. Par ailleurs, il s’agit d’un diplomate chevronné, ayant une connaissance approfondie des enjeux des relations internationales auxquels l’Afrique est confrontée, tout en suivant une voie autonome malgré les complexités de l’interdépendance.
