Il y a quelques mois à Paris, lors d’une soirée prestigieuse appelée la Nuit des Valeurs, les sympathisants et amis de la Fondation Duba, sous la présidence de Marie Wisdom, se sont retrouvés pour apporter leur soutien à cette organisation qui, aujourd’hui, s’est transportée au Cameroun où les promesses se sont transformées en actes. L’objectif à Paris était de récolter des fonds pour venir en aide aux enfants défavorisés du Cameroun, notamment dans les villes de Douala, Yaoundé et d’autres encore, et ce projet a été couronné de succès. C’est ainsi que la caravane humanitaire a pris son envol à Makepé le 28 juin 2024, au siège de l’ADDC, l’Association des Droits et Devoirs des Citoyens. Là, une centaine d’enfants ont été comblés de dons variés, allant de fournitures scolaires à des vêtements, en passant par des médicaments et des denrées alimentaires.
Cet événement n’était pas seulement une distribution de biens essentiels, mais aussi une célébration de la créativité des enfants, qui ont enchanté l’assistance par leurs talents artistiques et leurs magnifiques chorégraphies. Grâce à la générosité sans bornes de la Fondation, le projet cher au cœur de Marie Wisdom a pris forme concrètement. Désormais, chaque année, elle mobilisera des ressources pour continuer à apporter aide et espoir aux enfants démunis, plongés dans une précarité extrême. Pour la présidente, elle a déclaré : « Dans l’élan ardent de mon cœur réside l’incessante quête d’assistance pour ces enfants délaissés par le destin. Je lance un appel à toutes les âmes bienveillantes pour embrasser ce projet, devenant ainsi bénévole à perpétuité. À mes yeux, il est de notre devoir social de bâtir un monde où chaque enfant, d’où qu’il vienne, puisse croître en sécurité. Bien que mon enfance ait été clémente, j’ai toujours été consciente des réalités qui nous entourent, car je perçois très vite que les intentions ne sont pas toujours pures.
C’est pourquoi je m’engage avec ferveur dans cette cause. Nos missions, nobles et engagées, attendent l’unisson de tous. Chaque jour, je ressens une immense satisfaction à apporter ma pierre à cet édifice de solidarité, contribuant ainsi au bien-être des vies fragiles. Reconnaissante envers tous ceux qui ont matériellement soutenu notre projet, je ne saurais fermer les yeux sur la misère et la souffrance qui persistent au-dehors. Le 28 juin restera gravé dans les annales de Makepé, mais l’avenir promet encore plus, avec l’arrivée de nombreux autres volontaires déterminés à poursuivre notre belle œuvre de solidarité humaine. »