Le combat d’hier entre Cedric Doumbè et Baki a laissé un goût amer malgré la présence des stars de tous les sport confondus. Un combat qui a débuté sous les projecteurs, une affiche de haut niveau qui promettait des étincelles puisqu’il s’agit quand même de Doumbè. Mais c’est vers le dernier round que l’amertume s’est installée. Ce n’était plus l’euphorie habituelle des show de Doumbè surtout lorsque le premier round a pris un tournant inattendu.
Dès les premiers échanges, les coups ont fusé sans répit, laissant Doumbè en difficulté. Une véritable tempête s’est abattue sur lui, le public, les journalistes, les photographes, incrédules, observaient la scène avec inquiétude surtout les camerounais qui étaient entrain de voir leur Doumbè partir définitivement du ring. Doumbè, d’habitude si sûr de lui, semblait tendu avant le combat, ses jambes tremblantes trahissaient ses émotions. Cette tension s’est manifestée lorsqu’il a chuté à deux reprises au cours du premier round, passant une grande partie du temps à se défendre pour se relever. Même s’il n’était pas menacé directement, le simple fait d’être mis à terre à deux reprises l’a considérablement démoralisé et affaibli.
Baki, quant à lui, était bien préparé, il se déplaçait avec agilité, tandis que Doumbè rencontrait des difficultés pour le rattraper. Baki, sentant qu’il avait l’avantage, a ralenti le rythme du combat, laissant Doumbè le suivre à travers le ring. Au troisième round, alors que Doumbè tentait de se ressaisir, il a soudainement brandi une plainte étrange concernant un morceau de verre sous ses orteils. Cette soudaine revendication a surpris tout le monde, mais il semblait clair que Doumbè cherchait une échappatoire face à une adversité grandissante. Son adversaire par esprit sportif a demandé à ce que l’arbitre comprenne l’adversaire, mais en vain.
Doumbè prétendait qu’un objet le gênait. Malgré cela, l’arbitre a ordonné la poursuite du combat. Ce que Doumbè a fait, peut être le jeu conformément à ce qui pourrait avoir été préparé en amont. La tension montait alors que Doumbè semblait de moins en moins mobile. Face à cette inertie, Baki a compris que la victoire n’aurait aucun mérite. Le sport exige de gagner avec honneur et dignité. Lorsque l’arbitre a finalement arrêté le combat, le public était stupéfait. Le champion Doumbè était sur le point d’être vaincu, mais il aurait quitté le ring avec un certain déshonneur. On peut relever sa faiblesse face aux obstacles.
Il n’était dit que Doumbè devra toujours gagner, il était à quelques seconde de perdre son titre, mais un camerounais reste un camerounais, il avait son petit secret caché dans orteil qu’on a fini par être à découvert. tout compte fait un ami internet a dit à la fin du combat quelque chose d’important que j’essaie de transcrire il disait ceci » Avec ce que j’ai vu, les deux adversaires sont conscient que la moindre erreur peut être fatale. Doumbé était en mode prédateur comme Toujours. Mais l’arbitre en a décidé autrement, c’est nul. Mais pour ma part c’est l’industrie du sport. Il savent que si Doumbé sort gagnant, les sociétés de Paris sportifs vont perdre beaucoup. Du coup dès le premier petit truc, on arrête le combat. Ceux qui ne savent pas cela seront et demeureront dans les discours émotionnels.