Le groupe de chanteurs Baladji Kwata, ces jeunes bourrés d’effervescence, sont en train d’écrire leur histoire dans la musique et dans l’animation. Leur talent va bien au-delà de la simple renommée. Ces jeunes artistes camerounais, dont les origines remontent au lointain FADA KWATAL, rayonnent d’un charme musical incommensurable. Leurs voix, claironnent comme des anges qui traversent le mur de Jéricho et résonnent avec une grâce céleste. Leur capacité à enflammer les cœurs et les foules, est tout simplement envoûtante. Dans l’approfondissement de leur animation festive et surtout avec l’approche de la Coupe des Nations, ils reviennent avec des mélodies qui touchent l’âme, des harmonies qui donnent le vertige, et des rythmes qui évoquent la danse de deux âmes entrelacées.
Ces artistes sont plus que des interprètes, ce sont des artisans de l’amour par la musique, des poètes par les sentiments, des magiciens qui savent créer l’ambiance. Leurs chansons, comme des déclarations d’amour en musique, les portent loin, bien au-delà des frontières du Cameroun. Ils sont adulés jusqu’en Côte d’Ivoire, où chaque mélodie qu’ils créent est une invitation à la passion. Ils sont les gardiens d’une tradition musicale qui évoque la nostalgie des Kwatal, leurs aînés du Nord Cameroun. Dans chaque note, ils ressuscitent les souvenirs d’enfance, les chansons des jours du coucher du soleil au lever de l’aurore, qui ont bercé leurs premières années.
Ils suivent leur propre chemin dans la musique populaire, créant un orchestre où leur voix est l’instrument principal, leurs mains sont les battements du cœur, et leur danse, l’expression de la joie pure. La musique coule dans leurs veines comme un ruisseau torrentiel, ils seront en Côte d’Ivoire naturellement pour gagner avec les lions. Des virtuoses de la romance à venir, des ambassadeurs de la future chanson camerounaise, et leur union en tant que groupe est la symphonie de ce succès qui sera éternel.