Les récentes réformes en matière d’immigration en France sont durcies. J’avais anticipé cette évolution il y a six ans lorsque Emmanuel Macron est arrivé au pouvoir. Bien que nous n’en soyons pas encore à la phase décisive, il est évident que les opérations vont se multiplier. Cependant, cette politique a un double tranchant, car elle cible principalement les Africains, et les gouvernements africains ne tarderont pas à réagir. Néanmoins, c’est une opportunité historique pour les Africains de bâtir un avenir prometteur pour leur communauté. De nos jours, le Rwanda suscite l’envie de tous, avec son développement impressionnant qui profite à ses citoyens et aux Africains qu’il accueille chaleureusement.
Si l’Afrique décide de prendre en main son destin, elle doit développer ses propres moyens pour protéger sa jeunesse. La France ressent que l’Afrique se tourne progressivement vers d’autres partenaires, ce qui la pousse à sécuriser son propre avenir pour ne pas à avoir à accueillir les souffrances du monde alors qu’on la rejette dans le continent africain. La question est de savoir si cette réaction est justifiée. Les articles que j’essaie de publier sur ce sujet revêtent une importance capitale, car ils contiennent, à une exception près, les expériences politiques du moment. Les motivations géopolitiques sont souvent à l’origine des actions de la politique française. La première idée qui me vient à l’esprit est que ces réformes visent à endiguer la montée de l’extrême droite, qui se rapproche dangereusement du pouvoir. À ce stade, il est crucial d’adopter une politique migratoire plus ouverte, une stratégie que semble suivre le ministre de l’Intérieur, également candidat potentiel à la présidence française.
Par ailleurs, ces mesures pourraient être une réponse des Africains à la politique française à leur égard. Comme l’a déclaré Eric Zemmour, « Si l’Afrique ne veut plus de la France, on ne veut plus de l’Afrique non plus. » Toutefois, à en juger par les dirigeants actuels en Afrique, qui ne semblent pas agir véritablement dans l’intérêt de leur pays, l’Afrique risque de subir de lourdes conséquences. Trop souvent, les discours ne sont que des paroles en l’air. Les voyages en Afrique révèlent invariablement les mêmes réalités de misère, de souffrance et de dignité bafouée. En fin de compte, pour la France, il est essentiel de comprendre l’Afrique en tant que partenaire précieux. Les Africains, au fond, ne rejettent pas la culture française.
Les immigrés en Afrique du nord sont en position d’attente.
D’un point de vue économique, l’immigration massive révèle la pauvreté, c’est un fait établi. Chaque année, elle prend des proportions de plus en plus importantes, cela aussi est bien connu. Dans cette partie de l’Afrique, elle ressemble presque à une réserve humaine. Cependant, il est essentiel de faire des distinctions au sein de cette population. Environ trois quarts des immigrants sont des aventuriers dont la vie semble suspendue dans le temps. Parmi ces trois quarts, il y a ceux qui sont de véritables voyageurs, cherchant à traverser coûte que coûte dès que l’opportunité se présente.
D’autres, principalement des femmes, se lancent dans de petits commerces, créant un mélange hétéroclite de situations. Enfin, le dernier groupe, tout aussi intéressant, est constitué de fêtards. Ces immigrants noirs affluent vers les pays luxuriants proches de l’Europe, prêts à entreprendre l’assaut final vers l’Eldorado. Certains les comparent à une sorte de demi-Schengen en Afrique du Nord. Les aventuriers sont facilement reconnaissables. Ils sont souvent mal vêtus, avec des cheveux en bataille, des visages communs, des expressions dures, peu enclins à l’intelligence, et peuvent sembler sournois et malveillants. Le temps et les épreuves les ont rendus dépressifs, fous, et presque hébétés. Ils ressemblent parfois à des personnages sortis tout droit d’un film d’escrime, avec leurs barbes et leurs voix nasillardes.
Pour les populations du pays du nord, les voir ronger un os est rassurant, car cela signifie qu’ils ne sont ni voleurs ni agresseurs. Ces aventuriers sont souvent enclins à des comportements fourbes, belliqueux, mal éduqués, toujours enclin à se battre. On les trouve fréquemment impliqués dans des rixes entre ressortissants de différents pays si l’un d’entre eux est attaqué. Ils ne respectent généralement aucune règle de la vie en communauté. Leurs chambres sont constamment bruyantes, la musique et les bals nocturnes sont monnaie courante, sans considération pour les voisins. Les immigrants subsahariens, arrivent avec leur propagande habituelle vantant les mérites de leur pays d’origine pourtant laissés sans lendemain.
Ils passent leur temps à expliquer à quel point leur pays est le plus beau, une affirmation souvent infondée. On peut se demander pourquoi ils ont quitté leur pays s’ils étaient si bien lotis là-bas. Malheureusement, cette attitude les rend souvent arrogants et ils se considèrent comme les plus astucieux, mais ils sont parfois pris au dépourvu de manière assez simple. Dans l’ensemble, malgré leur endurance et leur détermination, la cacophonie qu’ils créent dans le quartier fait souvent d’eux de véritables commères.