Trois grands problèmes mondiaux sont identifiés : la pauvreté, la guerre et l’intolérance. Ces problèmes touchent différentes catégories de personnes à différents niveaux de la société. On les trouve partout et dans tous les continents. Les dignitaires, les porteurs et les sans dents. Chacun des trois a une mission bien précise au sein de notre monde. Les trois recherchent la paix, c’est à dire le bonheur avec tous ses desseins. L’homme a le pouvoir d’abolir l’humanité, il a aussi les capacités de la transformer. Mais aujourd’hui quelle assurance peut-on avoir lorsque les hommes se proposent d’assumer une mission de paix ? C’est l’ONU qui chargé de réguler le monde, de l’organiser, et offrir des perspectives à tous les hommes de la terre les chances de survies, mais cette organisation sent mal. Elle n’a jamais permis une stabilisation durable par exemple des conflits régionaux. Mais c’est dommage elle n’a pas jouer son rôle, après la fin de la guerre froide elle donné la chance à la Russie de redevenir une grande puissance. Les partisans de la realpolitik tiennent pour utopique tout projet, toute proposition visant à transcender une situation bloquée. Dans cette perspective la paix du monde, encore si éloignée aujourd’hui n’est pas plus utopique que celle de la démocratie, autre folie raisonnable qui progresse dans le monde.
La terre ne sera jamais le paradis, on le sait d’aventure, que l’homme est ce qu’il est il est multiforme, bon ou mauvais selon les enjeux, l’antagonisme faisant partie de sa nature, il cherchera à se maintenir dans ses trois composantes. Les dignitaires, qui ont bénéficié d’une formation et d’une naissance favorable, qui se trouvent en haut de l’échelle sociale. Une masse croissante de personnes en situation de précarité et confrontées à des problèmes d’abri, de travail vivent dans une santé précaire en bas de l’échelle sociale. Autour de ces d’eux, il y a un nombre considérable d’intermédiaires, tels que les travailleurs sociaux, chauffeurs, les enseignants et les ouvriers et soldats, dont le rôle est souvent d’observer à la loupe ces personnes les sans dents, pour permettre à ces dignitaires d’asseoir leur puissance et de continuer dans l’opulence le travail des pauvres. Le mal gangrène le monde. De simple problème comme les bas salaires, du moins je veux dire la condition ouvrière, persistent avec ces nantis qui payent ces personnes comme s’il les faisait une faveur. La population s’accroit la pauvreté également d’année en année on observe autour de nous un sentiment d’injustice et d’amertume.
Les sommets qui s’organisent tous les jours dans le monde doivent s’appesantir sur les problèmes mondiaux et la possibilité de changer le destin des hommes pas toujours par des actions démocratiques et sociales. Il nous reste à faire une analyse approfondie parce que les problèmes mondiaux ne se limitent pas à ces trois cités plus haut, ils sont plus compliqués que cela, il faut se pencher sur les problèmes de la justice tout en appelant à des actions positives. Si nous supprimons les inégalités sociales et nous résolvons les questions liées aux élections, nous mettons fin à l’influence des étrangers sur les choix des candidats. Nous aurons accompli le premier travail à faire, et l’importance des voix du peuple et du choix des citoyens dans la construction de l’avenir du pays compte partout.
Il s’agit d’une analyse commode, nous avons la possibilité de faire des réflexions pertinentes sur les problèmes auxquels le monde est confronté. Le prestige social semble de plus en plus lié à l’argent. Mais il n’y a pas que l’argent dans la vie. Il nous faut revoir avec une réflexion sur la manière dont on peut affecter la politique et la démocratie. Nous attendons des responsables politiques à faire la différence entre la communication politique et la propagande, soulignant l’importance du dialogue et de la transparence.