« Les africains ne veulent plus la France, la France ne veut plus les africains ».
La vie en France pour les travailleurs africains est devenue difficile. Très très difficile. Les métiers de sécurité des personnes qui étaient la chasse gardée des africains est aujourd’hui occupé par les hommes venus des pays de l’Est. On observe actuellement des groupes d’individus réduits à des actes désespérés de survie dans l’espace public, comme uriner contre les murs ou se soulager derrière des bâtiments, faute d’accès à des toilettes.
Ces scènes témoignent de la précarité et de l’anxiété croissantes parmi ces communautés. Dans les gares, les espaces de repos sont occupés par des personnes épuisées et sans abri, qui cherchent un lieu pour se reposer, les commodités publiques ont été réduites ou rendues inaccessibles parce que payantes. Le futur semble promettre une augmentation de cette détresse, invisible pour le moment mais inévitable. La France agit comme le bûcheron qui scie un tronc d’arbre , elle scie doucement, mais surement et elle sait que l’arbre tombera.
Les signes avant-coureurs de cette crise incluent la fuite des animaux d’un arbre qui va tomber, ou les oiseaux qui s’envolent tout ceci symbolise les changements sociaux imminents. La relation entre la France et les communautés africaines s’affaiblit, avec des répercussions particulièrement dures pour ceux déjà présents sur le territoire. Les africains ne veulent plus la france, la France ne veut plus les africains il, le faut ne noter.
Aussi, les politiques d’emploi deviennent de plus en plus restrictives, excluant notamment les Africains de certains emplois, désormais réservés à ceux ayant des papiers en règle et une expérience locale significative. Cette exclusion se fait sentir dans un contexte où les emplois précaires étaient une des rares sources de revenu pour beaucoup. La situation est complexe et les chiffres exacts sur l’étendue de cette précarité sont difficiles à obtenir, mais il est clair que la misère se fait de plus en plus visible dans les rues, marquant un retour à des niveaux de désespoir rappelant les périodes les plus sombres de l’histoire.
Pourtant c’est cette Afrique là qui a toujours été là même en période de Covid 19, ils étaient dehors. Les organisations humanitaires sont dépassées par l’ampleur des besoins, tandis que les contrôles de la RATP s’intensifient, limitant sévèrement la mobilité des individus sans papiers. Dans ce contexte, la situation pour certains africains à Paris vont encore considérablement détériorée, pour vivre à Paris il faut sortir, maintenir un africain chez lui c’est le tuer. Au moins qu’ils soient vendeurs ambulants. Ces vendeurs ambulants, identifiables à leurs manteaux de velours donnés par des œuvres caritatives et imprégnés d’une forte odeur de cigarette, incarnent le clochard en milieu urbain.
Ce qui est curieux dans toute cette affaire, c’est le fait que les ressortissants des pays comme le Mali, le Burkina, le Niger dont les pays sont dressés contre la France, sont ceux-là qui sont privilégiés dans les démarches administratives au détriment des pays comme le Cameroun, le Gabon, le Congo, la Cote d’Ivoire qui font la part belle à la France. La situation se complexifie jour après jour, poussant certains à envisager l’émigration vers le Canada ou les États-Unis comme alternative.
La transition vers l’indépendance totale en Afrique subsaharienne soulève également des inquiétudes quant à la gestion des infrastructures essentielles, telles que l’eau, l’électricité, et les réseaux de communication, potentiellement entre les mains de l’occident. Quant aux filles qui étaient sans histoire et qui se livraient allègrement à la coiffure, elles reviennent désormais comme les marquises à 6 heures du matin appliquant bien la politique du juste prix.