Georges Weah, ancien footballeur devenu président a eu une position intellectuelle sur les questions des coups d’état en Afrique. Pour lui les coups d’état sont de deux sortes : les coups d’état militaires et les coups d’état constitutionnels. Les deux sont blancs bonnet et bonnet blanc, il estime que les sanctions le plus souvent visent les petits pays sans défense. Alors que certains présidents des pays considérés comme influents outrepassent tous les droits et s’accrochent au pouvoir. Pour Weah, il faut corriger tout cela pour éviter les coups d’états militaires. Par ailleurs il considère les institutions africaines de certains pays comme des systèmes à double vitesse. Les pouvoirs africains ont une double vitesse. Les coups d’état institutionnels sont une véritable gangrène. De toute évidence, pour Weah, ces deux situations sont consubstantielles et provoquent tous les malaises qu’on rencontre en Afrique.